samedi 16 mai 2009

...pas d'oubli qu'on ne puisse combler...

Comme il n'est pas de trahison qu'on ne pardonne, il n'est pas de faute dont on ne puisse se faire absoudre, pas d'oubli qu'on ne puisse combler (...). Plus un esprit est délicat, plus il découvre de beautés originales, plus une âme est tendre et ouverte à la divine espérance; plus elle trouve dans autrui, quelque souillé qu'il soit, de motifs d'amour.

La Fanfarlo, Charles Baudelaire

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